The Lounge of Former
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 [Fic] Vicious

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KäDõV
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KäDõV


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MessageSujet: [Fic] Vicious   [Fic]  Vicious EmptySam 18 Oct - 22:56

Chapitre 1 : L'inconnu.

Vicious se lève, fatigué après une journée ô combien exécrable : Il avait dormit très peu car réveillé par une attaque sur un village non loin de sa pitoyable maison abandonné et vielle d'apparence. Ce n'était pas le top confort mais il se contentait de ça. En faite, il n'avait jamais connu le grand luxe, il ne vivait pas au dépend des autres, il vivait grâce à la chasse, la pêche et la récolte. Un des derniers paysans, car la campagne cédait place à de grand immeuble, et ceux de plus en plus. A vrai dire, le village pillé devait être un des derniers d'Inde. Et c'est le gouvernement qui avait orchestré cette attaque, il voulait de nouveau endroit pour leur base militaire et la guerre est omniprésente depuis quelque temps. Mais Vicious s'était promis de ne pas partir. Il allait resté ici quoi qu'il arrive. Enfin, ça c'est ce qu'il pensait, parce que face au gouvernement, personne ne peut gagner. Il allait devoir cherché un nouvel endroit pour vivre lorsque ces salauds décideront une énième fois d'agrandir leur terrain.... de jeu. Il avait vécut seul, ses parents n'existaient pas, en faite, il avait l'impression d'être déjà mort. Mais il oublia cette hypothèse, il n'était pas croyant et croyait encore moins en la résurrection. Il avait du rêvé. Mais ce qui n'était pas un rêve, c'était la guerre. Soixante-Dix ans qu'elle avait commencé. Les pertes étaient terrible, la population mondial avait chuté à 1,6 milliards.

Puis après sa traditionnel matinée (manger, faire à manger, nourrir le bétail, dormir) il entendit quelqu'un frappé à sa porte. Il prit alors un petit couteau qu'il cacha dans son dos, puis il ouvrit la porte doucement, paré à toute attaque. Mais rien ne se produisit. Il vie juste un homme avec une cape noire, un capuchon tout aussi sombre, qui semblait assez froid. Alors, il dégaina son couteau, ça devait être l'exterminateur, un chasseur de prime qui travaille pour le gouvernement. Avant que Vicious puisse l'attaquer, il avait déjà saisis la main de vicious et l'avait plaqué au sol. Lorsque celui-ci essaya de contre-attaquer, l'homme lui fis une clé de bras, avant de se relever, pour mettre son genou au niveau du cou de Vicious. Celui-ci essayait tant bien que mal de se débattre, mais c'était peine perdu, l'homme était trop fort. Mais coup de théâtre, il ne tua pas Vicious. Il se mis sur une chaise attendant Vicious, qui avait encore mal au cou.


Inconnu : « C'est bien imprudent d'attaquer ainsi lorsqu'on ne connait rien de son adversaire. C'est une erreur de débutant. Je dois dire que tu me déçois, Vicious. »

Vicious : « Qui êtes-vous ? »

Inconnu : « Je suis un messager. Mon nom importe peur, le messager de qui aussi. Je suis venu te prévenir qu'un tournoi se déroule, et que tu dois y participé. Tu vas y être obligé, même si tu me dis non. Il se déroulera dans le vieux Japon. »

Vicious : « Le vieux japon ? »

Messager : « Tu ne savais donc pas que la partie sud du japon a été totalement détruite... et qu'on l'appelle le vieux japon car là-bas, pas d'immense bâtiment. Un bateau t'attendra sur les côtes. Ma mission s'arrête là. J'aurai bien dis et ta vie aussi pour avoir du style, malheureusement nous avons besoin de toi. Adieu. »


Alors, sans que Vicious puisse dire la moindre chose, le messager disparus dans un nuage de fumée. Perplexe, il se demanda d'abord si il n'avait pas rêvé. Pourtant la douleur était réel. En tout cas, l'homme lui avait dis qu'il serait obligé d'y allé. Vicious, qui n'aimait pas être dirigé, sur jura le contraire. Et pourtant, l'homme avait éveillé sa curiosité. Mais qu'allait-il advenir de ses bêtes ? Si il devait partir plus longtemps que prévu, elle crèverait tous. Et ce n'était pas convenable. Pourtant, quelque chose lui disait qu'elles allaient survivre... que quelque chose d'important l'attendait au vieux Japon. Alors, Vicious partis de sa piteuse maison, pour se dirigé vers le forgeron. Il allaiy avoir besoin d'un sabre et d'autre arme coupante. Et comme il était l'un des meilleurs, il espèrait qu'il lui accorderait du temps pour confectionner une arme ou plusieurs à Vicious.
[Passage à la première Personne (j'ai trop de mal avec la troisième]
Pourtant, lorsqu'il arriva, rien. La maison était en cendre, et un corps gisait au sol. Alors voila, le vieux était mort... voila pourquoi je n'avais jamais reçu mon sabre... Tenheiki, je ne l'avais jamais reçu. Je trouve, à côté du corps inerte, ce fameux sabre. Ce cadeau qu'il m'avait promis. Il l'a finit, au péril de sa vie. Je prends alors sa dépouille, puis je lui creuse une tombe avec les moyens du bord. Je prends Tenheki, puis je continue ma marche vers la côte. Dieu merci, elle n'est pas si loin que ça, et puis au moins ça me fais les jambes. Je ne mis que 3 heures, durant lesquels, j'escaladai des montagnes, traversai des lacs et passai dans des villes, toute aussi moderne les unes que les autres. Mais aucune ne survivra très longtemps, car à peine arrivé, je vois la guerre civile. Pris de panique, je commence à courir. Les tirs sont dirigé vers mes ennemis, bizarrement, personne ne semble me voir. Profitant de cet instant, je cours tête baissé vers ce qui semble être la sortie.

Après une dizaine de minutes de marche, je vois un énorme bateau, qui n'attend que moi. Personne ne rentre dedans, tout les touristes semble l'ignorer. Pourtant il énorme ! Ce sont juste des idiots. Je descend alors à toute vitesse, si vite que je percute quelqu'un. Je me lève et m'excuse, mais encore une fois, personne ne me vois. Pire, l'homme sembla troublé, comme si il avait buté sur un mur invisible. Tout aussi troublé, je descend en bas, et rentre dans l'énorme bateau. Personne a l'entrée... Puis un garde m'interpelle. Il me regarde quelque seconde. Alors, après une bref description dans sa tête, il décide d'hisser celle-ci au rang de conversation :


??? : « Cheveux rouge, taille moyenne, sabre fin, bonne musculature, pas trop gros et kimono violet... vous devez être Mr. Vicious. Veuillez entrée et passer un bon voyage. »

Je passe à côté de lui, pour me rendre dans une chambre, inhabité. Je me pose sur le lit, mes deux mains croisé en dessous de ma tête. C'est alors qu'une personne entre dans la cabine, et pousse un cri, me traitant de salaud. C'est... un homme. Vous pensiez à une femme, bande de pervers !

??? : « Que faites-vous ici ?! Vous êtes vicious, vous êtes dans la numéro 7, et non dans la cabine de dame et monsieur Irachi ! Partez vite ou ils vous tueront. »

Vicious : « On se calme. Si tu gueule, c'est sur qu'ils vont venir. Bref, merci de m'avoir indiqué le numéro de ma cabine. Puis-je connaitre ton nom ? »

??? : « Aredasho Misusuke. »


Il me fit un petit geste de la tête avant de s'enfoncer dans la pénombre. Je sortis alors de la cabine pour me dirigé vers la mienne. Si ils sont tous comme ça, ce tournoi va être facile.
Lorsque j'entre dans la cabine, je vois un confort que je n'avais jamais eus. Table de chevet, télé, dvd, console, armoire, meuble... tout ça en propre. Moi, rien que ma table était vielle, comme toute cette maison d'ailleurs. Je prends la télécommande, et instinctivement, j'appuie pour l'allumer et mettre une chaine. Après avoir remarqué la niaiserie d'une émission, je zappe sur une autre, jusqu'à qu'on vienne toquer à ma porte. Je dis : entrer, comme dans les films, ça fais ultra classe.


Aredasho : « Monsieur, j'aimerai vous combattre maintenant. Le voyage risque d'être long, et je veux m'entrainer pour gagner. »

Vicious : « Comme tu voudras. Sache, Aredasho, que tu peux me tutoyer et que je ne te ferai aucun cadeau. »


Alors, accompagné du jeune homme, je partis vers une salle. Apparemment, il connaissait bien l'endroit. Il fit un code qui déverrouilla une porte automatique. J'avais bien sur regardé en secret. Le code était 1475. Je ne sais pas ce que cette date à de particulier, je sais juste qu'il a fais ça, puis qu'il a touché un bouton " N°7 ". Il se mit sur un ordinateur ou il tapa. Une nouvelle fois j'espionnai pour le voir taper : PA7. Trop de truc bizarre pour moi. Quand il tapa sur la touche " entrée ", le monde autour de nous se transforma en un terrain de flamme. Au milieux, une colonne de glace, ou Aredasho et moi nous nous tenons.

Aredasho : « Les règles sont simple. Le combat doit se finir avant que la colonne soit détruite. Commençons... »

Je restai intrigué quelque seconde. Aredasho avait prit confiance en lui, même un peu trop. Mais je ne pu me soucier de ceci longtemps car déjà il fonçait vers moi, tout en dégainant une énorme épée. Alors, avec une certaine vitesse, je dégainai mon sabre et le mettait entre son épée et mon visage. Puis, je m'accroupis et lui mis un coup de pied au niveau de la jambe qui le mis à genoux. Alors, je levai mon sabre, mais avant que je puisse le faire redescendre, il m'enfonça un couteau dans le tibia. J'hurlais de douleur tandis que lui se relevai tranquillement. Puis il jeta son épée à terre, et je reproduisis ce geste avec Tenheiki. Si il veut se battre à main nu, ça tombe bien, j'ai envie de faire mal. Alors, il envoie son poing vers mon visage, que j'intercepte. Assez intelligent, il poussa sa main vers mon pouce pour que je relâche l'emprise. Pour le surprendre, je lâcha et lui mis un coup de pied dans les côtes. J'enchainai directement avec un coup de poing dans le ventre. Il riposta presque aussitôt d'un coup de tête au niveau de mon nez qui saigna sur l'impact du choque. Haineux, je ne pus me défendre sur deux de ses attaques. Puis, sur la troisième, je me saisis de son pied et le fis tomber avec moi. Alors, j'effectuai une clé de jambe qui le paralysa. Je forçais jusqu'à qu'il tape trois fois au sol. Je lui tourna le dos et je partit récupérer mon sabre, que j'envoyai presque aussitôt derrière moi. Alors, il s'écroula. Il avait l'intention de m'attaquer en traitre pour me tuer... mais qui est-il vraiment ? Pourquoi faire ça ?

Vicious : « Qui es-tu vraiment ?! Pourquoi avoir tenté de me tué ?! »

Aredasho : « Monsieur sera content. Je suis un envoyé, et je devais te tué. Finalement, il avait raison, je suis pas assez fort. »

Vicious : « Qui ?! »

Aredasho : « Ma confidence s'arrête là. »


Alors, je frappai son visage. Je n'avais pas risqué ma vie pour rien ! Je n'avais pas tué quelqu'un pour rien ! C'était impossible ! Je n'étais pas un tueur ! Je ne pouvais pas en être un. Je... pendant ce combat, je n'étais plus moi même. Alors, Aredasho laissa tomber quelque chose de sa main. Un petit flacon marqué : " SCA - Pour tuer les " ça s'arrête là. Le reste est trop floue pour être déchiffré... ce tournoi me semble de plus en plus bizarre. Il y avait surement un lien entre 1475, N°7, PA7 et SCA. Pourtant, je ne vois pas. Je nage dans l'inconnu, et ça ne me plait pas. Alors, j'écris sur l'ordinateur PA7 puis je tapa la touche entrée. Cette technologie m'intriguait. En tout cas, lorsque le monde revint à la normal, un corps gisait au sol ensanglanté. J'étais un tueur... et après ce mort, ma vie allait devenir un vrai calvaire, mais je ne le savais pas encore. En tout cas, je m'emparai de sa dépouille, et je la ramenai dans ses appartement. Une femme me demanda pourquoi, et je répondis simplement qu'il était exténué après un dur combat. Heureusement, mon épaule cachait le trou dans son coeur. Je le déposa sur son lit, et je pris son épée comme trophée. Puis, je rentra dans ma chambre, la numéro 7 donc. Je m'installai dans mon lit, et commençait à sombrer dans les bras de morphée... que de chose bizarre!

___


Chapitre 2 : Souvenir de l'avant... (ça veut rien dire mais ça pète la classe !)


Après le drôle de numéro de Aredasho, je me posai énormément de question. C'était le second messager, et comme le premier, il n'avait pas révéler l'auteur, qui devait surement être son maitre. Ça devait être un homme assez influent, et je pense assez puissant. Déjà que son premier messager m'a à peine ridiculiser et le second avait une puissance énorme par rapport à son comportement. J'avais du me fourré dans une histoire pas nette, et ça allais mal finir, j'en étais sur. Je ne sais rien, mais apparemment je suis lié à tout. Le plus bizarre étant que je n'ai aucun souvenir de l'avant.
-- Flash Back --

1 mois avant...




[ En cours / Pour toute faute de syntaxe ou d'orthographe ou même de ponctuation, vous inquiétez pas... je vais corrigé tout ça lors de la version finale. ]
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KäDõV
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MessageSujet: Re: [Fic] Vicious   [Fic]  Vicious EmptySam 18 Oct - 22:57

J'ai un mal de tête épouvantable ! Encore une soirée arrosé. Mais en faite... où suis-je ? Un lit, si on peut appeler ça un lit, des stores à moitié fermé laissant la vue sur une ville remplie de grand bâtiment. A ma droite, une simple porte avec une petite chaise. Dans un renforcement, une petite pièce se forme, et je peux voir que c'est une sorte de salle de bain car cette fameuse porte est ouverte. Le tout tapissé d'un blanc très simple, trop simple. Je soulève lentement la couverture sur moi et je me dirige vers la porte de sortie, enfin je présume. Celle-ci ouverte, je peux voir que je suis dans un hôpital. Personne à mon chevet... ce n'était donc pas une soirée arrosé. Mais alors... qu'est ce qui s'est passé ? Je n'ai pas le temps d'y songer lorsqu'une infirmière vient m'interpeler, l'air affolé.

??? : « Mr... Gueko, vous n'êtes pas apte à vous levez après de tel blessure ! »

Un peu pris au dépourvu, je regarde mon corps et vois une coupure béante en plein milieux de mon abdomen. Je n'ai aucune douleur, et pourtant ma mémoire est atteinte apparemment. Bizarrement, lorsque j'entends Gueko, je me rappelle directement de mon nom. L'une des rares choses dont je me souviens... ou plutôt l'unique chose. Alors, j'observe quelque seconde l'infirmière, affolé, qui semble tourné autour de moi.

Gueko: « Vous pouvez m'appelez Vicious. n'est qu'un nom, qui fais tâche à mon prénom. »

Infirmière : « D'accord... Vicious. Moi je m'appelle Uruki Tomoyo. »

Vicious : « Que m'est-il arrivé ? »

Tomoyo : « Et bien... vous avez une chute, nous ne savons pas d'où. A l'impact, au lieu d'avoir rien de visuel à part de grosse écorchure, cette cicatrice. »


Alors, je restai planté là comme ça. Qu'est ce qu'elle raconte ?! Je me sens bien, mes os ne semble pas cassé, je n'ai eus aucun mal à marché. Rien, mise à part mes souvenirs, ne semblent avoir eus de problèmes. Alors, Tomoyo, un peu gêné finis par m'avouer pourquoi. (j'ai quand même été obligé de faire les yeux de tueur à sang froid).

Tomoyo : « Je n'ai pas le droit de vous le dire... mais un homme est venu, à tué la plupart des vigiles pour vos administrez une substance inconnu. Sur le flacon, il y avais écris quelque chose comme... Ether. Mais ce n'était certainement pas ça, car ça ne vous aurai pas soigner.. Après, il a disparu. Et à peine une heure plus tard, votre corps est redevenu normal, comme si vous n'aviez rien subit. Il a dit, avant de partir, quelque chose comme... " les anges sauveront le monde de sa perte. Dieu n'est pas content ! " ça doit être un de ses fous, dangereux. En tout cas, il a massacré les vigiles et tués tout les autres patient... avec cette substance. Vous êtes notre seul patient... et je suis la seule infirmière. »


Donc, cet homme cherchais quelque chose. Et les autres patient n'avaient pas survécut à la substance qu'il m'avait injecté à moi aussi. Substance marqué par le mot Ether. Bizarre. Mais je n'ai pas que ça à faire, il faut je sorte. Je ne sais pas ce que j'ai à faire, mais je suis persuadé que la réponse sera plus dehors que dedans (sans double sens). L'infirmière tente de me retenir, mais d'un puissant coup de poing, je la cloue au sol, lui cassant le nez par la même occasion. C'est pas mon genre de frappé une femme, mais là, pas de discussion possible, il faut je sorte, il le faut quoi que ça coute... sauf ma vie peut être.


Je vagabonde des les couloirs vides. On peut voir, de temps en temps, un corps dépassé de sa chambre, ou sa main. Il y a aussi quelque vigiles dont les tripes ainsi que le cœur ont été arraché. A côté d'eux, quelque brancard, sur lesquels ils ont du se tenir avant de se faire massacrer par cette chose que je ne connais pas. En tout cas, c'est dans un climat d'horreur que j'avance, sans le savoir, vers la cour de l'hôpital. Je fous un puissant coup de pied dans la double porte, qui se referme aussi fermement sur mon nez. Mon entrée en scène style GIGN, c'est pas pour aujourd'hui, malheureusement. Je tente une seconde fois, mais en changeant de procédé. Je m'approche doucement de la porte et la pousse délicatement du bout de mes mains. Je donne une impulsion avec celle-ci pour faire comme les stars américaines... mais encore une fois, je me fais avoir. Bon, il est vrai que cette fois, je me suis pas pété le nez, mais ça vous donne un sacré coup au morale. J'entame alors mon troisième et dernier essai, avec encore une fois un nouveau procédé. Je pousse tout simplement la porte et la tient pour passer, puis je la laisse se refermer avec violence. Je marche parmi les corps, et je pense au calvaire que ces pauvres gens ont enduré. Heureusement pour eux, le tueur était un sanguinaire mais pas un sadique ou un vicieux. Il avait tranché la tête à la plus part d'entre eux, les autres était mort des suites de leur blessure, mais ça n'avait pas du être long, car souvent il avait visé les cuisses à l'endroit précis ou se tient l'artère. Dans le pire des cas, il avait fait un sorte de Raikiri. Mais qui suis-je pour dire qu'ils n'ont rien sentit ? Moi, je suis en vie, je ne peux pas savoir. Ils ont du souffrir... atrocement. Pire que les petites douleur que nous jugeons énorme, nous autre qui n'avons jamais gouté à la douleur pur.

Lorsqu'enfin, je finis de traversé la cour, en faisant attention à ne pas enjamber les corps, j'ai un choix crucial. A droite ou à gauche ? Après mûr réflexion, je me dis que tout droit c'est mieux. J'ai voté Kennedy après tout ! Hein ? Qui c'est Kennedy ? J'étais pas né ? C'est la même chose.

Je commence ma traversé d'un long couloir, lui aussi chargé en cadavre. Chacune des morts est pire que l'autre, mais ils iront tous au même endroit... dans la bouche d'insecte venu rongé leur corps. Et ils savent eux, si il y a quelque chose après ou pas. C'est pour ça qu'il faut profité de la vie. Mais je ne suis pas là pour tuer mes lecteurs ou les rendre suicidaire. J'ai envie qu'ils lisent et qu'ils me traitent en Dieu, mais c'est pas pour maintenant, à mon grand malheur.

Bref, après une assez longue traversé, je pousse des portes... les portes de la liberté. Poussé, elles me donnent la liberté de sortir. Dehors, rien n'a changé, toujours autant de monde. Personne ne semble voir cet hôpital ravagé, la façade noirâtre à cause d'un feu, probablement. Ils passent devant, en m'ignorant, tout comme ils ignorent cet hôpital. Ils sont fous ! Il y a eus un vrai massacre dans cet hôpital ! Personne ne peut le nier, alors pourquoi eux font mine de ne rien voir ?! Je ne suis pas fous. C'est eux les fous, je n'ai pas d'hallucination, c'est eux qui en ont. Je m'énerve... mais pourquoi ?! Il n'y a rien qui puisse m'énerver, si ce n'est ces enfoiré de passant qui ignore un bâtiment remplie de mort, avec une seule survivante que j'ai assommé... mais... je dois aller la réveiller ! Ça pourrait tourné au vinaigre, j'ai pas envie d'être accusé de complicité de meurtre moi. Et puis, elle peut m'apporter des réponses, elle ne doit pas mourir tant qu'elle n'aurai pas dis tout ce qu'elle sait ! Même si pour ça, il va falloir utilisé la manière brusque, ce que je n'espère pas, car encore une fois, ce n'est pas mon genre. Je suis un empereur, et elle est un pion, les pions sont toujours utile, et elle allait devoir l'être, sous peine de mourir. Je n'hésiterai pas une seconde a la sacrifié pour ma propre personne. C'est pas bien ça, un empereur qui cours pour aller sauvé un pion. Ça massacre toute ma classe, et la classe de ce titre par la même occasion. C'est bidon ! C'est digne des pires scénario Biélorussien ! Digne des meilleurs scénario de kawatanie ! (cherché pas, ce pays n'existe pas...)

Mais je dois prendre sur moi pour aller aidé la jeune femme nommée Tomoyo. Alors je commence à augmenter la cadence, j'arrive à forcé la porte style GIGN, je fais des virages à la Ridge Racer dans les couloirs, je fais patiner les roues arrières, je me prends des têtes à queues, je repars aussi vite et fais grincer les pneus sur le sol de cet hôpital ! Puis, je commence à voir que tout ceci est faux, je ne suis pas dans une formule 1, quand j'essaye un virage, je mange un mur, faire un tête à queue serait vraiment fais exprès, et les roues arrières ne sont que mes jambes. Je me suis emporté... mais que c'est beau les rêves !

Lorsqu'enfin je prends le dernier virage pour rejoindre ce qui m'a servit de chambre, je vois un homme, bien armé et pointant cette même arme derrière lui. Il me montre donc son dos. Discrètement, je rentre dans ma chambre et me plaque contre le mur, attendant qu'il soit à ma hauteur pour m'en saisir. Lorsque je l'entend, je fais une roulade, il se tourne mais ne vois rien. Je me suis en faite caché derrière un brancard. Je me lève, et le prend par derrière. Je le tiens par la gorge, tandis qu'avec une main j'essaye de me saisir d'un couteau. Il me met un coup de coude bien placé, qui me fais craché un peu de salive. Sans lui laissé le temps de prendre son arme, je le frappe au ventre avec une certaine force, puis je le fais tombé à l'aide d'une vieille technique. Je lui saute dessus, et il me renverse sans que je puisse le frapper. Je mets instinctivement mes mains en garde, au dessus de mon visage, pour ne pas être frappé. Erreur, car il s'empare de ma jambe, qu'il remonte progressivement vers ma tête. Je sens déjà la douleur atroce venir. Prenant mon courage à deux mains, je lui mets un coup de tête sur son torse, ce qu'il le déséquilibre. Avec un timing parfait, je le fais basculer sur le sol, puis sors de ma pochette un... une... boite d'allumette. C'est pas ma sacoche ! Et il profite de ce moment d'hésitation pour reprendre le dessus sur un combat très serré. Je laisse mes bras parallèles à mon corps. Lorsque se présente l'occasion, je farfouille dans ma poche pour en sortir un petit bout de bois très aiguisé. Je lui rentre alors dans le ventre, et peu à peu, je le sens lâché prise. Finalement, avec une petite poussette, je le renverse au sol. Je respire, lorsque je vois une dizaine d'homme en noir arrivé. Je me tourne vers l'infirmière, puis, dans un dernier souffle, j'envoie un autre cure-dent géant vers le cœur d'un gars, qui touché, s'écroule à terre. Content de ma réussite, je vois l'un des hommes me frapper avec une grande force. Je tombe dans l'inconscience...
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KäDõV
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MessageSujet: Re: [Fic] Vicious   [Fic]  Vicious EmptySam 18 Oct - 22:57

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17 jours avant.,,

Vicious : « Ça fais mal co**ard ! »


Un gars venait de me frapper avec une batte de base-ball. Ça fais mal, et en plus elle s'est cassé sur ma tête. Est qu'il va enfin comprendre que me retenir ici, ça sert à rien ?! Ou son niveau de c*n***ie était-il surdéveloppé ? En tout cas, ça fais 13 jours maintenant qu'on me tabasse sans sommation... et surtout sans raison apparente. J'ai rien fais, je sais rien, mais on me tape dessus quand même. Je me demande... si j'ai pas oublié de nourrir le chat. Ho m**de... j'ai oublié et je l'ai enfermé dans la maison. Il faut que je m'échappe, mais comment ? J'en sais rien, et aujourd'hui pas de truc flagrant. Pas de conduit... un lit grand comme un gamin... des barreaux, des murs beige... va falloir creusé à la cuillère !
[ Générique Prison Break : J'ai pas l'temps, mon esprit, nique ailleuuuurs ! ]
Mais je suis un Dieu, et tout est possible. J'ai une sacré chance. Il se trouve que cette même prison passe en alerte. Apparemment, elle est attaqué. Et pas qu'un peu. Déjà, j'entends les sifflements de missile lancé à pleine vitesse sur celle-ci. Même à l'intérieur de la prison, on entend bien les bruits de balles et des hommes crié lorsqu'une balle leur transperce leur chaire et qu'il tombe sous l'effet de la douleur. J'attendis quelque seconde collé à mes barreaux, lorsque je vis un soldat passer. Alors, je le pris par le dos. Pas facile, mais là j'avais réussi. Je le rapprochai ainsi de mes barreaux, pour bloqué sa nuque. Lorsqu'enfin ce fut fait, je lui fis prendre les clés de ma cellule et de celle d'autre prisonnier, puis je l'assomme. Je me dirige rapidement vers ma porte, et je l'ouvre en quatrième vitesse. Je délivre les autres détenus, avant de leur demander de me suivre sans poser de question. Je me faufile entre les corps, je cours, mais je ne sais pas encore pour aller où. Je monte des escaliers, accompagné d'un groupe de dix personnes environ. J'arrive sur une plate forme, et devant moi un hélicoptère. Je tourne ma tête pour m'apercevoir que je me trouve en faite sur un bateau. Je fais monter les prisonnier à bord, et demande en même temps si un d'entre eux sait piloter un hélicoptère. Un seul dis oui, et il me demande d'être le second pilote. Il me fait alors une explication très rapide. Je me tourne vers les 9 autres prisonnier, chacun a trouvé un AK-74. On va pouvoir décoller tranquillement. Ils tirent, tandis que moi et le dénommé Mikahïl faisont partir l'hélico. Lorsqu'enfin nous sommes à bonne distance, les passager ferment les portes en criant « Hourra ! »

Ils ont bien raison. Si eux aussi ont été torturé, ça a dut être dur. Surtout que la plupart on l'air d'être enfermé depuis bien longtemps, vu leur habit et leur blessure non cicatriser. Je prend une bouffé d'air, puis j'observe attentivement le paysage. De la mer, à perte de vu. Dernière nous, nous laissons un bateau en feu. Les attaquants ne nous ont pas vu partir, pensant surement que cet hélicoptère leur appartenait et qu'il partait faire le plein. Une chance, quand on sait ce qu'on aurait subit si il avait prêté attention au personne à l'intérieur. Autre bonne nouvelle, le réservoir est plein. On peut donc retrouver la terre ferme. Reste à savoir où elle est. Et ça, c'est pas facile. Se retrouver en plein milieux de la mer... sans carte... pour trouver la terre ferme, c'est pas la meilleur solution. Testé, vous verrez... mais après avoir lu ma fic bien sur !

Tout le monde est content donc, et la joie n'est que renforcé lorsque la terre ferme apparaît dans mon champ de vision ainsi que dans celui des autres rescapés. Je regarde le pilote quelque seconde, en pleine admiration. Il avait trouvé la terre ferme en un rien de temps ! Pourtant, son visage à lui restait impassible. Je ne comprenais vraiment pourquoi il était comme ça.. mais je ne préfère pas parler, il doit avoir une bonne raison et il n'avait peut-être pas envie de la révéler. Puis, j'entends un passager me demander mon nom... je me retourne, souriant.


Vicious : Gueko est mon prénom.. quand à mon nom, c'est Vicious. Vicious Gueko donc. Et vous ?

??? : Moi je suis le prisonnier 1-3453-DE matricule 95 rang K partie C aile gauche. Mon prénom c'est Mad`suko. Voici F-15 comme on l'appelle ou Jyü, dit-il en montrant du doigt un homme à la carrure maigrichonne et le visage ponctuer d'un nez pointu. Il paye pas de mine, mais c'est le meilleur tireur que j'ai jamais vu, et puis malgré cet aspect faible il est assez fort. Lui c'est Miko, le renfermé qui parle jamais. Il montra un homme assez grand, mais avec un corps svelte. Lorsqu'il entendit son nom, il fit un petit signe de tête pour me dire bonjour avant de se replonger dans ses rêves tout en regardant la mer et la forêt omniprésente sur la petit île qui avait fais le bonheur des évadés juste avant. Et les autres, on va faire rapide... Irashi ou le champion de tire à la kalachinkov, le chauve c'est Kahran Ramsus, ou notre momie national. Tu as Caim, notre allemand qui fournit les voitures. Il y a Noah Weng, le clown de service chargé de mettre l'ambiance ; il est aussi un artificier. Tu as aussi Mitsukane, le pro de l'informatique. L'avant-dernier c'est Shalashka, notre russe à nous, ainsi que notre informateur dans la mafia Russe. Et enfin, le pilote... Mô Mait. Les présentations sont faites je pense. Ah non, j'ai oublié... tu ne sais surement pas qui nous sommes. Et bien, je vais te le révéler puise que tu as eus l'extrême gentillesse de nous délivrer. Nous sommes les Néo Ccromhes. Une petite unité de rebelle qui lutte contre le gouvernement... et qui n'a pour l'instant rien gagné. Nous nous sommes fais attrapé avant de pouvoir attaqué Kazh, petite ville d'Inde qui devait être notre QG. Mais ça ne t'intéresse surement pas, alors...


Avant qu'il puisse finir, on entendit un bruit d'explosion sur l'arrière de l'hélicoptère. Le pilote resta calme et descendit le plus bas possible. Puis, pour la première fois depuis notre rencontre, il prit la parole.

Mô : Tout le monde saute, nous sommes attaqué par des... des avions, des chasseurs de l'armée Coréenne !

Alors, sans hésitation, tout le monde sauta de l'hélicoptère. Mô attendit que tout le monde soit tombé pour se jeté à son tour. Quelque seconde plus tard, l'hélicoptère explosait en plein vol, ce qui envoya de nombreux débris. Heureusement, aucun de nous n'avait été touché. L'hélicoptère s'écrasa un peu plus loin. Il avait prit feu, et la forêt elle aussi. Une course contre la montre, et notre seul guide était la fumée que dégageait l'hélicoptère. Si elle était au nord, il fallait courir vers le sud... raisonnement facile, mais sur le coup, personne n'avait pensé à autre chose. Et puis ça satisfaisait tout le monde, nous n'avions pas besoin de réfléchir trop au moins... car nous aurions perdu de précieuse seconde qui aurait, peut être, suffit à nous tuer. En tout cas, la chance était de nôtre côté puisque nous réussîmes à aller sur la plage. Mais l'attaque des Coréen ne s'arrêtait pas là. Sans se poser de question, tout le monde sauta dans l'eau et plongea aussi bas que possible. Au bout de 3 minutes, je fus obligé de remonté à la surface... et là, une triste vue m'attendait. Sur la plage, des corps... mais pas ceux de mes alliés. Je revenu sur celle-ci, puis j'attendis dix bonne minutes avant d'en venir à la conclusion... j'étais dans une belle merde. Ma seule chance... non, je n'avais aucune chance. J'allais devoir marcher sur ce sable, jusqu'à je ne sais où.

Après quelque heures de marches...

Vicious : « Putain je m'ennuie ! Marre de marcher sur cette boue de merde ! »

Ces quelques mots résumaient à merveille mon humeur du moment. Deux putains d'heures que je marchais, toujours rien. Cette île, vu des airs, paraissait minuscule. Et pourtant, maintenant que je me trouvais dessus à marcher sans savoir ce que je cherchais, elle paraissait immense. Mais, mes efforts allaient être récompensé. Car derrière une falaise, je vis un petit village... Avec la volonté d'y arriver, je sautai du haut de la falaise qui devait bien faire 20mètres. Je tombai dans l'eau... d'une certaine façon. On m'avait apprit à sauter pour ne pas risquer la mort au contact. Bien que j'eus vraiment mal, j'arrivai à nager vers la plage. Avant même de poser un pied à terre, je vis déjà un petit groupe de gens courir vers moi. Ils m'aidèrent à me lever, et m'amenèrent à leur chef, un homme corpulent.

Chef : «Que viens-tu faire ici ? »
Vicious : « Bah en faite... j'ai été emprisonné sur une petite île et je me suis enfuis en hélicoptère avec d'autre détenus juste après que celle-ci fut attaqué. Et lorsqu'on est arrivé près de vôtre île, des chasseurs de l'armé Coréenne ont attaqué notre pauvre hélico qui s'est écrasé. Mes alliés ont disparus, et après une longue marche j'ai aperçu vôtre village... »
Chef : « D'accord... seulement, nous ne voulons pas de toi ici. Mais je vais te ramener sur la Terre Ferme. Sache que tu es à seulement 3 heures de L'inde. Un petit groupe d'homme va ramer pour toi jusqu'à là-bas... ne dis jamais que tu es venus ici. Et surtout... prends ce nom : Tenhiki. Un nom très respecté... qui t'aidera par la suite. T'es amis sont morts, tous ont été retrouvé au bord de nos falaises... »

Je restai bouche bée... puis je partis. Lâché sur le continent... je ne me souviens plus ce qui c'est passé. En tout cas, à chaque fois que je disais que mon nom était Tenhiki je voyais des gens apeurés et qui s'inclinait maladroitement...
Chapitre 3 : Retrouvaille.


Capitaine : « Arrivé à l'Ancien Japon. Tout le monde descend. Je répète, arrivé à l'Ancien Japon. Tout le monde descend. »

Vicious : « Fils de pute... »


Je m'étais à peine endormis que le capitaine m'avait déjà réveillé. Nous étions arrivé à destination sans problème, avec même un quart d'heure d'avance. Heureusement, je n'avais aucun bagage et je pouvais donc sortir sans aucune contrainte. Je prenais grande inspiration avant d'allumer une clope. J'ouvrai alors mes yeux, et je reculai de quelque pas, trébuchant presque dans la mer. Une terre dévasté, des ruines omniprésente et un terrain de feu. C'est quoi ce merdier était la première chose à laquelle j'avais pensé. Les autres personnes aussi était surprise. Un homme apparut alors de nul part. Il nous fit signe de le suivre. Comme des brebis derrière un bâton, je le suivi accompagné d'une dizaine d'autres personnes. Il nous amenait vers le terrain enflammé. Arrivé juste à côté, je sentais la chaleur devenir insoutenable. Et lui, comme par magie, passa le rideau de flamme. Il revenu, apparemment troublé que personne ne l'ai suivit. Il fit un signe de tête, et je tentai le premier de passer. Je fermai les yeux, comme si une immense douleur allait se créé en moi. Mais rien. Doucement, je réouvris les yeux et je vis qu'il ne m'était rien arrivé. Je ricanai de ma propre connerie. Et peu à peu, tous traversèrent la vague. L'homme était à présent au milieux d'un terrain improvisé. Il afficha alors un planning ou était affiché le nom des combattants...
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MessageSujet: Re: [Fic] Vicious   [Fic]  Vicious EmptyDim 19 Oct - 2:27

OMFG

J'avais pas vu que c'était aussi long...

Je te corrige ça pour...

Lundi-Mardi...

( Dimanche soir si j'ai la forme. )
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MessageSujet: Re: [Fic] Vicious   [Fic]  Vicious EmptyDim 19 Oct - 21:08

OMG, ma gentillesse n'a pas de limites...

Vicious se lève, fatigué après une journée ô combien exécrable : Il avait dormit très peu car réveillé par une attaque sur un village non loin de sa pitoyable maison abandonné et vielle d'apparence. Ce n'était pas le top confort mais il se contentait de ça. En faite, il n'avait jamais connu le grand luxe, il ne vivait pas au dépend des autres, il vivait grâce à la chasse, la pêche et la récolte. Un des derniers paysans, car la campagne cédait place à de grand immeuble, et ceux de plus en plus. A vrai dire, le village pillé devait être un des derniers d'Inde. Et c'est le gouvernement qui avait orchestré cette attaque, il voulait de nouveau endroit pour leur base militaire et la guerre est omniprésente depuis quelque temps. Mais Vicious s'était promis de ne pas partir. Il allait resté ici quoi qu'il arrive. Enfin, ça c'est ce qu'il pensait, parce que face au gouvernement, personne ne peut gagner. Il allait devoir cherché un nouvel endroit pour vivre lorsque ces salauds décideront une énième fois d'agrandir leur terrain.... de jeu. Il avait vécut seul, ses parents n'existaient pas, en faite, il avait l'impression d'être déjà mort. Mais il oublia cette hypothèse, il n'était pas croyant et croyait encore moins en la résurrection. Il avait du rêvé. Mais ce qui n'était pas un rêve, c'était la guerre. Soixante-dix ans qu'elle avait commencé. Les pertes étaient terrible, la population mondial avait chuté à 1,6 milliards.

Puis après sa traditionnel matinée (manger, faire à manger, nourrir le bétail, dormir) il entendit quelqu'un frappé à sa porte. Il prit alors un petit couteau qu'il cacha dans son dos, puis il ouvrit la porte doucement, paré à toute attaque. Mais rien ne se produisit. Il vie juste un homme avec une cape noire, un capuchon tout aussi sombre, qui semblait assez froid. Alors, il dégaina son couteau, ça devait être l'exterminateur, un chasseur de prime qui travaille pour le gouvernement. Avant que Vicious puisse l'attaquer, il avait déjà saisis la main de vicious et l'avait plaqué au sol. Lorsque celui-ci essaya de contre-attaquer, l'homme lui fis une clé de bras, avant de se relever, pour mettre son genou au niveau du cou de Vicious. Celui-ci essayait tant bien que mal de se débattre, mais c'était peine perdu, l'homme était trop fort. Mais coup de théâtre, il ne tua pas Vicious. Il se mis sur une chaise attendant Vicious, qui avait encore mal au cou.


Inconnu : « C'est bien imprudent d'attaquer ainsi lorsqu'on ne connait rien de son adversaire. C'est une erreur de débutant. Je dois dire que tu me déçois, Vicious. »

Vicious : « Qui êtes-vous ? »

Inconnu : « Je suis un messager. Mon nom importe peur, le messager de qui aussi. Je suis venu te prévenir qu'un tournoi se déroule, et que tu dois y participé. Tu vas y être obligé, même si tu me dis non. Il se déroulera dans le vieux Japon. »

Vicious : « Le vieux japon ? »

Messager : « Tu ne savais donc pas que la partie sud du japon a été totalement détruite... et qu'on l'appelle le vieux japon car là-bas, pas d'immense bâtiment. Un bateau t'attendra sur les côtes. Ma mission s'arrête là. J'aurai bien dis et ta vie aussi pour avoir du style, malheureusement nous avons besoin de toi. Adieu. »


Alors, sans que Vicious puisse dire la moindre chose, le messager disparus dans un nuage de fumée. Perplexe, il se demanda d'abord si il n'avait pas rêvé. Pourtant la douleur était réel. En tout cas, l'homme lui avait dis qu'il serait obligé d'y allé. Vicious, qui n'aimait pas être dirigé, sur jura le contraire. Et pourtant, l'homme avait éveillé sa curiosité. Mais qu'allait-il advenir de ses bêtes ? Si il devait partir plus longtemps que prévu, elle crèverait tous. Et ce n'était pas convenable. Pourtant, quelque chose lui disait qu'elles allaient survivre... que quelque chose d'important l'attendait au vieux Japon. Alors, Vicious partis de sa piteuse maison, pour se dirigé vers le forgeron. Il allait avoir besoin d'un sabre et d'autre arme coupante. Et comme il était l'un des meilleurs, il espérait qu'il lui accorderait du temps pour confectionner une arme ou plusieurs à Vicious.
[Passage à la première Personne (j'ai trop de mal avec la troisième]
Pourtant, lorsqu'il arriva, rien. La maison était en cendre, et un corps gisait au sol. Alors voila, le vieux était mort... voila pourquoi je n'avais jamais reçu mon sabre... Tenheiki, je ne l'avais jamais reçu. Je trouve, à côté du corps inerte, ce fameux sabre. Ce cadeau qu'il m'avait promis. Il l'a finit, au péril de sa vie. Je prends alors sa dépouille, puis je lui creuse une tombe avec les moyens du bord. Je prends Tenheki, puis je continue ma marche vers la côte. Dieu merci, elle n'est pas si loin que ça, et puis au moins ça me fais les jambes. Je ne mis que 3 heures, durant lesquels, j'escaladai des montagnes, traversai des lacs et passai dans des villes, toute aussi moderne les unes que les autres. Mais aucune ne survivra très longtemps, car à peine arrivé, je vois la guerre civile. Pris de panique, je commence à courir. Les tirs sont dirigé vers mes ennemis, bizarrement, personne ne semble me voir. Profitant de cet instant, je cours tête baissé vers ce qui semble être la sortie.

Après une dizaine de minutes de marche, je vois un énorme bateau, qui n'attend que moi. Personne ne rentre dedans, tout les touristes semble l'ignorer. Pourtant il énorme ! Ce sont juste des idiots. Je descend alors à toute vitesse, si vite que je percute quelqu'un. Je me lève et m'excuse, mais encore une fois, personne ne me vois. Pire, l'homme sembla troublé, comme si il avait buté sur un mur invisible. Tout aussi troublé, je descend en bas, et rentre dans l'énorme bateau. Personne a l'entrée... Puis un garde m'interpelle. Il me regarde quelque seconde. Alors, après une bref description dans sa tête, il décide d'hisser celle-ci au rang de conversation :


??? : « Cheveux rouge, taille moyenne, sabre fin, bonne musculature, pas trop gros et kimono violet... vous devez être Mr. Vicious. Veuillez entrée et passer un bon voyage. »

Je passe à côté de lui, pour me rendre dans une chambre, inhabité. Je me pose sur le lit, mes deux mains croisé en dessous de ma tête. C'est alors qu'une personne entre dans la cabine, et pousse un cri, me traitant de salaud. C'est... un homme. Vous pensiez à une femme, bande de pervers !

??? : « Que faites-vous ici ?! Vous êtes vicious, vous êtes dans la numéro 7, et non dans la cabine de dame et monsieur Irachi ! Partez vite ou ils vous tueront. »

Vicious : « On se calme. Si tu gueule, c'est sur qu'ils vont venir. Bref, merci de m'avoir indiqué le numéro de ma cabine. Puis-je connaitre ton nom ? »

??? : « Aredasho Misusuke. »


Il me fit un petit geste de la tête avant de s'enfoncer dans la pénombre. Je sortis alors de la cabine pour me dirigé vers la mienne. Si ils sont tous comme ça, ce tournoi va être facile.
Lorsque j'entre dans la cabine, je vois un confort que je n'avais jamais eus. Table de chevet, télé, dvd, console, armoire, meuble... tout ça en propre. Moi, rien que ma table était vielle, comme toute cette maison d'ailleurs. Je prends la télécommande, et instinctivement, j'appuie pour l'allumer et mettre une chaine. Après avoir remarqué la niaiserie d'une émission, je zappe sur une autre, jusqu'à qu'on vienne toquer à ma porte. Je dis : entrer, comme dans les films, ça fais ultra classe.

Aredasho : « Monsieur, j'aimerai vous combattre maintenant. Le voyage risque d'être long, et je veux m'entrainer pour gagner. »

Vicious : « Comme tu voudras. Sache, Aredasho, que tu peux me tutoyer et que je ne te ferai aucun cadeau. »


Alors, accompagné du jeune homme, je partis vers une salle. Apparemment, il connaissait bien l'endroit. Il fit un code qui déverrouilla une porte automatique. J'avais bien sur regardé en secret. Le code était 1475. Je ne sais pas ce que cette date à de particulier, je sais juste qu'il a fais ça, puis qu'il a touché un bouton " N°7 ". Il se mit sur un ordinateur ou il tapa. Une nouvelle fois j'espionnai pour le voir taper : PA7. Trop de truc bizarre pour moi. Quand il tapa sur la touche " entrée ", le monde autour de nous se transforma en un terrain de flamme. Au milieux, une colonne de glace, ou Aredasho et moi nous nous tenons.

Aredasho : « Les règles sont simple. Le combat doit se finir avant que la colonne soit détruite. Commençons... »

Je restai intrigué quelque seconde. Aredasho avait prit confiance en lui, même un peu trop. Mais je ne pu me soucier de ceci longtemps car déjà il fonçait vers moi, tout en dégainant une énorme épée. Alors, avec une certaine vitesse, je dégainai mon sabre et le mettait entre son épée et mon visage. Puis, je m'accroupis et lui mis un coup de pied au niveau de la jambe qui le mis à genoux. Alors, je levai mon sabre, mais avant que je puisse le faire redescendre, il m'enfonça un couteau dans le tibia. J'hurlais de douleur tandis que lui se relevai tranquillement. Puis il jeta son épée à terre, et je reproduisis ce geste avec Tenheiki. Si il veut se battre à main nu, ça tombe bien, j'ai envie de faire mal. Alors, il envoie son poing vers mon visage, que j'intercepte. Assez intelligent, il poussa sa main vers mon pouce pour que je relâche l'emprise. Pour le surprendre, je lâcha et lui mis un coup de pied dans les côtes. J'enchainai directement avec un coup de poing dans le ventre. Il riposta presque aussitôt d'un coup de tête au niveau de mon nez qui saigna sur l'impact du choque. Haineux, je ne pus me défendre sur deux de ses attaques. Puis, sur la troisième, je me saisis de son pied et le fis tomber avec moi. Alors, j'effectuai une clé de jambe qui le paralysa. Je forçais jusqu'à qu'il tape trois fois au sol. Je lui tourna le dos et je partit récupérer mon sabre, que j'envoyai presque aussitôt derrière moi. Alors, il s'écroula. Il avait l'intention de m'attaquer en traitre pour me tuer... mais qui est-il vraiment ? Pourquoi faire ça ?
Vicious : « Qui es-tu vraiment ?! Pourquoi avoir tenté de me tué ?! »

Aredasho : « Monsieur sera content. Je suis un envoyé, et je devais te tué. Finalement, il avait raison, je suis pas assez fort. »

Vicious : « Qui ?! »

Aredasho : « Ma confidence s'arrête là. »


Alors, je frappai son visage. Je n'avais pas risqué ma vie pour rien ! Je n'avais pas tué quelqu'un pour rien ! C'était impossible ! Je n'étais pas un tueur ! Je ne pouvais pas en être un. Je... pendant ce combat, je n'étais plus moi même. Alors, Aredasho laissa tomber quelque chose de sa main. Un petit flacon marqué : " SCA - Pour tuer les " ça s'arrête là. Le reste est trop floue pour être déchiffré... ce tournoi me semble de plus en plus bizarre. Il y avait surement un lien entre 1475, N°7, PA7 et SCA. Pourtant, je ne vois pas. Je nage dans l'inconnu, et ça ne me plait pas. Alors, j'écris sur l'ordinateur PA7 puis je tapa la touche entrée. Cette technologie m'intriguait. En tout cas, lorsque le monde revint à la normal, un corps gisait au sol ensanglanté. J'étais un tueur... et après ce mort, ma vie allait devenir un vrai calvaire, mais je ne le savais pas encore. En tout cas, je m'emparai de sa dépouille, et je la ramenai dans ses appartement. Une femme me demanda pourquoi, et je répondis simplement qu'il était exténué après un dur combat. Heureusement, mon épaule cachait le trou dans son cœur. Je le déposa sur son lit, et je pris son épée comme trophée. Puis, je rentra dans ma chambre, la numéro 7 donc. Je m'installai dans mon lit, et commençait à sombrer dans les bras de Morphée... que de chose bizarre!
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MessageSujet: Re: [Fic] Vicious   [Fic]  Vicious EmptyDim 19 Oct - 21:10

OMG, ma gentillesse n'a pas de limites...



Chapitre 2 : Souvenir de l'avant... (ça veut rien dire mais ça pète la classe !)



Après le drôle de numéro de Aredasho, je me posai énormément de question. C'était le second messager, et comme le premier, il n'avait pas révéler l'auteur, qui devait surement être son maitre. Ça devait être un homme assez influent, et je pense assez puissant. Déjà que son premier messager m'a à peine ridiculiser et le second avait une puissance énorme par rapport à son comportement. J'avais du me fourré dans une histoire pas nette, et ça allais mal finir, j'en étais sur. Je ne sais rien, mais apparemment je suis lié à tout. Le plus bizarre étant que je n'ai aucun souvenir de l'avant.

-- Flash Back --

1 mois avant...


J'ai un mal de tête épouvantable ! Encore une soirée arrosé. Mais en faite... où suis-je ? Un lit, si on peut appeler ça un lit, des stores à moitié fermé laissant la vue sur une ville remplie de grand bâtiment. A ma droite, une simple porte avec une petite chaise. Dans un renforcement, une petite pièce se forme, et je peux voir que c'est une sorte de salle de bain car cette fameuse porte est ouverte. Le tout tapissé d'un blanc très simple, trop simple. Je soulève lentement la couverture sur moi et je me dirige vers la porte de sortie, enfin je présume. Celle-ci ouverte, je peux voir que je suis dans un hôpital. Personne à mon chevet... ce n'était donc pas une soirée arrosé. Mais alors... qu'est ce qui s'est passé ? Je n'ai pas le temps d'y songer lorsqu'une infirmière vient m'interpeler, l'air affolé.

??? : « Mr... Gueko, vous n'êtes pas apte à vous levez après de tel blessure ! »

Un peu pris au dépourvu, je regarde mon corps et vois une coupure béante en plein milieux de mon abdomen. Je n'ai aucune douleur, et pourtant ma mémoire est atteinte apparemment. Bizarrement, lorsque j'entends Gueko, je me rappelle directement de mon nom. L'une des rares choses dont je me souviens... ou plutôt l'unique chose. Alors, j'observe quelque seconde l'infirmière, affolé, qui semble tourné autour de moi.

Gueko: « Vous pouvez m'appelez Vicious. n'est qu'un nom, qui fais tâche à mon prénom. »

Infirmière : « D'accord... Vicious. Moi je m'appelle Uruki Tomoyo. »

Vicious : « Que m'est-il arrivé ? »

Tomoyo : « Et bien... vous avez une chute, nous ne savons pas d'où. A l'impact, au lieu d'avoir rien de visuel à part de grosse écorchure, cette cicatrice. »


Alors, je restai planté là comme ça. Qu'est ce qu'elle raconte ?! Je me sens bien, mes os ne semble pas cassé, je n'ai eus aucun mal à marché. Rien, mise à part mes souvenirs, ne semblent avoir eus de problèmes. Alors, Tomoyo, un peu gêné finis par m'avouer pourquoi. (j'ai quand même été obligé de faire les yeux de tueur à sang froid).

Tomoyo : « Je n'ai pas le droit de vous le dire... mais un homme est venu, à tué la plupart des vigiles pour vos administrez une substance inconnu. Sur le flacon, il y avais écris quelque chose comme... Ether. Mais ce n'était certainement pas ça, car ça ne vous aurai pas soigner.. Après, il a disparu. Et à peine une heure plus tard, votre corps est redevenu normal, comme si vous n'aviez rien subit. Il a dit, avant de partir, quelque chose comme... " les anges sauveront le monde de sa perte. Dieu n'est pas content ! " ça doit être un de ses fous, dangereux. En tout cas, il a massacré les vigiles et tués tout les autres patient... avec cette substance. Vous êtes notre seul patient... et je suis la seule infirmière. »


Donc, cet homme cherchais quelque chose. Et les autres patient n'avaient pas survécut à la substance qu'il m'avait injecté à moi aussi. Substance marqué par le mot Ether. Bizarre. Mais je n'ai pas que ça à faire, il faut je sorte. Je ne sais pas ce que j'ai à faire, mais je suis persuadé que la réponse sera plus dehors que dedans (sans double sens). L'infirmière tente de me retenir, mais d'un puissant coup de poing, je la cloue au sol, lui cassant le nez par la même occasion. C'est pas mon genre de frappé une femme, mais là, pas de discussion possible, il faut je sorte, il le faut quoi que ça coute... sauf ma vie peut être.


Je vagabonde des les couloirs vides. On peut voir, de temps en temps, un corps dépassé de sa chambre, ou sa main. Il y a aussi quelque vigiles dont les tripes ainsi que le cœur ont été arraché. A côté d'eux, quelque brancard, sur lesquels ils ont du se tenir avant de se faire massacrer par cette chose que je ne connais pas. En tout cas, c'est dans un climat d'horreur que j'avance, sans le savoir, vers la cour de l'hôpital. Je fous un puissant coup de pied dans la double porte, qui se referme aussi fermement sur mon nez. Mon entrée en scène style GIGN, c'est pas pour aujourd'hui, malheureusement. Je tente une seconde fois, mais en changeant de procédé. Je m'approche doucement de la porte et la pousse délicatement du bout de mes mains. Je donne une impulsion avec celle-ci pour faire comme les stars américaines... mais encore une fois, je me fais avoir. Bon, il est vrai que cette fois, je me suis pas pété le nez, mais ça vous donne un sacré coup au morale. J'entame alors mon troisième et dernier essai, avec encore une fois un nouveau procédé. Je pousse tout simplement la porte et la tient pour passer, puis je la laisse se refermer avec violence. Je marche parmi les corps, et je pense au calvaire que ces pauvres gens ont enduré. Heureusement pour eux, le tueur était un sanguinaire mais pas un sadique ou un vicieux. Il avait tranché la tête à la plus part d'entre eux, les autres était mort des suites de leur blessure, mais ça n'avait pas du être long, car souvent il avait visé les cuisses à l'endroit précis ou se tient l'artère. Dans le pire des cas, il avait fait un sorte de Raikiri. Mais qui suis-je pour dire qu'ils n'ont rien sentit ? Moi, je suis en vie, je ne peux pas savoir. Ils ont du souffrir... atrocement. Pire que les petites douleur que nous jugeons énorme, nous autre qui n'avons jamais gouté à la douleur pur.

Lorsqu'enfin, je finis de traversé la cour, en faisant attention à ne pas enjamber les corps, j'ai un choix crucial. A droite ou à gauche ? Après mûr réflexion, je me dis que tout droit c'est mieux. J'ai voté Kennedy après tout ! Hein ? Qui c'est Kennedy ? J'étais pas né ? C'est la même chose.

Je commence ma traversé d'un long couloir, lui aussi chargé en cadavre. Chacune des morts est pire que l'autre, mais ils iront tous au même endroit... dans la bouche d'insecte venu rongé leur corps. Et ils savent eux, si il y a quelque chose après ou pas. C'est pour ça qu'il faut profité de la vie. Mais je ne suis pas là pour tuer mes lecteurs ou les rendre suicidaire. J'ai envie qu'ils lisent et qu'ils me traitent en Dieu, mais c'est pas pour maintenant, à mon grand malheur.

Bref, après une assez longue traversé, je pousse des portes... les portes de la liberté. Poussé, elles me donnent la liberté de sortir. Dehors, rien n'a changé, toujours autant de monde. Personne ne semble voir cet hôpital ravagé, la façade noirâtre à cause d'un feu, probablement. Ils passent devant, en m'ignorant, tout comme ils ignorent cet hôpital. Ils sont fous ! Il y a eus un vrai massacre dans cet hôpital ! Personne ne peut le nier, alors pourquoi eux font mine de ne rien voir ?! Je ne suis pas fous. C'est eux les fous, je n'ai pas d'hallucination, c'est eux qui en ont. Je m'énerve... mais pourquoi ?! Il n'y a rien qui puisse m'énerver, si ce n'est ces enfoiré de passant qui ignore un bâtiment remplie de mort, avec une seule survivante que j'ai assommé... mais... je dois aller la réveiller ! Ça pourrait tourné au vinaigre, j'ai pas envie d'être accusé de complicité de meurtre moi. Et puis, elle peut m'apporter des réponses, elle ne doit pas mourir tant qu'elle n'aurai pas dis tout ce qu'elle sait ! Même si pour ça, il va falloir utilisé la manière brusque, ce que je n'espère pas, car encore une fois, ce n'est pas mon genre. Je suis un empereur, et elle est un pion, les pions sont toujours utile, et elle allait devoir l'être, sous peine de mourir. Je n'hésiterai pas une seconde a la sacrifié pour ma propre personne. C'est pas bien ça, un empereur qui cours pour aller sauvé un pion. Ça massacre toute ma classe, et la classe de ce titre par la même occasion. C'est bidon ! C'est digne des pires scénario Biélorussien ! Digne des meilleurs scénario de kawatanie ! (cherché pas, ce pays n'existe pas...)

Mais je dois prendre sur moi pour aller aidé la jeune femme nommée Tomoyo. Alors je commence à augmenter la cadence, j'arrive à forcé la porte style GIGN, je fais des virages à la Ridge Racer dans les couloirs, je fais patiner les roues arrières, je me prends des têtes à queues, je repars aussi vite et fais grincer les pneus sur le sol de cet hôpital ! Puis, je commence à voir que tout ceci est faux, je ne suis pas dans une formule 1, quand j'essaye un virage, je mange un mur, faire un tête à queue serait vraiment fais exprès, et les roues arrières ne sont que mes jambes. Je me suis emporté... mais que c'est beau les rêves !

Lorsqu'enfin je prends le dernier virage pour rejoindre ce qui m'a servit de chambre, je vois un homme, bien armé et pointant cette même arme derrière lui. Il me montre donc son dos. Discrètement, je rentre dans ma chambre et me plaque contre le mur, attendant qu'il soit à ma hauteur pour m'en saisir. Lorsque je l'entend, je fais une roulade, il se tourne mais ne vois rien. Je me suis en faite caché derrière un brancard. Je me lève, et le prend par derrière. Je le tiens par la gorge, tandis qu'avec une main j'essaye de me saisir d'un couteau. Il me met un coup de coude bien placé, qui me fais craché un peu de salive. Sans lui laissé le temps de prendre son arme, je le frappe au ventre avec une certaine force, puis je le fais tombé à l'aide d'une vieille technique. Je lui saute dessus, et il me renverse sans que je puisse le frapper. Je mets instinctivement mes mains en garde, au dessus de mon visage, pour ne pas être frappé. Erreur, car il s'empare de ma jambe, qu'il remonte progressivement vers ma tête. Je sens déjà la douleur atroce venir. Prenant mon courage à deux mains, je lui mets un coup de tête sur son torse, ce qu'il le déséquilibre. Avec un timing parfait, je le fais basculer sur le sol, puis sors de ma pochette un... une... boite d'allumette. C'est pas ma sacoche ! Et il profite de ce moment d'hésitation pour reprendre le dessus sur un combat très serré. Je laisse mes bras parallèles à mon corps. Lorsque se présente l'occasion, je farfouille dans ma poche pour en sortir un petit bout de bois très aiguisé. Je lui rentre alors dans le ventre, et peu à peu, je le sens lâché prise. Finalement, avec une petite poussette, je le renverse au sol. Je respire, lorsque je vois une dizaine d'homme en noir arrivé. Je me tourne vers l'infirmière, puis, dans un dernier souffle, j'envoie un autre cure-dent géant vers le cœur d'un gars, qui touché, s'écroule à terre. Content de ma réussite, je vois l'un des hommes me frapper avec une grande force. Je tombe dans l'inconscience...
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Naruflo
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MessageSujet: Re: [Fic] Vicious   [Fic]  Vicious EmptyDim 19 Oct - 21:11

OMG, ma gentillesse n'a pas de limites...


17 jours avant.,,

Vicious : « Ça fais mal co**ard ! »

Un gars venait de me frapper avec une batte de base-ball. Ça fais mal, et en plus elle s'est cassé sur ma tête. Est qu'il va enfin comprendre que me retenir ici, ça sert à rien ?! Ou son niveau de c*n***ie était-il surdéveloppé ? En tout cas, ça fais 13 jours maintenant qu'on me tabasse sans sommation... et surtout sans raison apparente. J'ai rien fais, je sais rien, mais on me tape dessus quand même. Je me demande... si j'ai pas oublié de nourrir le chat. Ho m**de... j'ai oublié et je l'ai enfermé dans la maison. Il faut que je m'échappe, mais comment ? J'en sais rien, et aujourd'hui pas de truc flagrant. Pas de conduit... un lit grand comme un gamin... des barreaux, des murs beige... va falloir creusé à la cuillère !
[ Générique Prison Break : J'ai pas l'temps, mon esprit, nique ailleuuuurs ! ]
Mais je suis un Dieu, et tout est possible. J'ai une sacré chance. Il se trouve que cette même prison passe en alerte. Apparemment, elle est attaqué. Et pas qu'un peu. Déjà, j'entends les sifflements de missile lancé à pleine vitesse sur celle-ci. Même à l'intérieur de la prison, on entend bien les bruits de balles et des hommes crié lorsqu'une balle leur transperce leur chaire et qu'il tombe sous l'effet de la douleur. J'attendis quelque seconde collé à mes barreaux, lorsque je vis un soldat passer. Alors, je le pris par le dos. Pas facile, mais là j'avais réussi. Je le rapprochai ainsi de mes barreaux, pour bloqué sa nuque. Lorsqu'enfin ce fut fait, je lui fis prendre les clés de ma cellule et de celle d'autre prisonnier, puis je l'assomme. Je me dirige rapidement vers ma porte, et je l'ouvre en quatrième vitesse. Je délivre les autres détenus, avant de leur demander de me suivre sans poser de question. Je me faufile entre les corps, je cours, mais je ne sais pas encore pour aller où. Je monte des escaliers, accompagné d'un groupe de dix personnes environ. J'arrive sur une plate forme, et devant moi un hélicoptère. Je tourne ma tête pour m'apercevoir que je me trouve en faite sur un bateau. Je fais monter les prisonnier à bord, et demande en même temps si un d'entre eux sait piloter un hélicoptère. Un seul dis oui, et il me demande d'être le second pilote. Il me fait alors une explication très rapide. Je me tourne vers les 9 autres prisonnier, chacun a trouvé un AK-74. On va pouvoir décoller tranquillement. Ils tirent, tandis que moi et le dénommé Mikahïl faisons partir l'hélico. Lorsqu'enfin nous sommes à bonne distance, les passager ferment les portes en criant « Hourra ! »

Ils ont bien raison. Si eux aussi ont été torturé, ça a dut être dur. Surtout que la plupart on l'air d'être enfermé depuis bien longtemps, vu leur habit et leur blessure non cicatriser. Je prend une bouffé d'air, puis j'observe attentivement le paysage. De la mer, à perte de vu. Dernière nous, nous laissons un bateau en feu. Les attaquants ne nous ont pas vu partir, pensant surement que cet hélicoptère leur appartenait et qu'il partait faire le plein. Une chance, quand on sait ce qu'on aurait subit si il avait prêté attention au personne à l'intérieur. Autre bonne nouvelle, le réservoir est plein. On peut donc retrouver la terre ferme. Reste à savoir où elle est. Et ça, c'est pas facile. Se retrouver en plein milieux de la mer... sans carte... pour trouver la terre ferme, c'est pas la meilleur solution. Testé, vous verrez... mais après avoir lu ma fic bien sur !

Tout le monde est content donc, et la joie n'est que renforcé lorsque la terre ferme apparaît dans mon champ de vision ainsi que dans celui des autres rescapés. Je regarde le pilote quelque seconde, en pleine admiration. Il avait trouvé la terre ferme en un rien de temps ! Pourtant, son visage à lui restait impassible. Je ne comprenais vraiment pourquoi il était comme ça.. mais je ne préfère pas parler, il doit avoir une bonne raison et il n'avait peut-être pas envie de la révéler. Puis, j'entends un passager me demander mon nom... je me retourne, souriant.


Vicious : Gueko est mon prénom.. quand à mon nom, c'est Vicious. Vicious Gueko donc. Et vous ?

??? : Moi je suis le prisonnier 1-3453-DE matricule 95 rang K partie C aile gauche. Mon prénom c'est Mad`suko. Voici F-15 comme on l'appelle ou Jyü, dit-il en montrant du doigt un homme à la carrure maigrichonne et le visage ponctuer d'un nez pointu. Il paye pas de mine, mais c'est le meilleur tireur que j'ai jamais vu, et puis malgré cet aspect faible il est assez fort. Lui c'est Miko, le renfermé qui parle jamais. Il montra un homme assez grand, mais avec un corps svelte. Lorsqu'il entendit son nom, il fit un petit signe de tête pour me dire bonjour avant de se replonger dans ses rêves tout en regardant la mer et la forêt omniprésente sur la petit île qui avait fais le bonheur des évadés juste avant. Et les autres, on va faire rapide... Irashi ou le champion de tire à la kalachnikov, le chauve c'est Kahran Ramsus, ou notre momie national. Tu as Caim, notre allemand qui fournit les voitures. Il y a Noah Weng, le clown de service chargé de mettre l'ambiance ; il est aussi un artificier. Tu as aussi Mitsukane, le pro de l'informatique. L'avant-dernier c'est Shalashka, notre russe à nous, ainsi que notre informateur dans la mafia Russe. Et enfin, le pilote... Mô Mait. Les présentations sont faites je pense. Ah non, j'ai oublié... tu ne sais surement pas qui nous sommes. Et bien, je vais te le révéler puise que tu as eus l'extrême gentillesse de nous délivrer. Nous sommes les Néo Ccromhes. Une petite unité de rebelle qui lutte contre le gouvernement... et qui n'a pour l'instant rien gagné. Nous nous sommes fais attrapé avant de pouvoir attaqué Kazh, petite ville d'Inde qui devait être notre QG. Mais ça ne t'intéresse surement pas, alors...

Avant qu'il puisse finir, on entendit un bruit d'explosion sur l'arrière de l'hélicoptère. Le pilote resta calme et descendit le plus bas possible. Puis, pour la première fois depuis notre rencontre, il prit la parole.

Mô : Tout le monde saute, nous sommes attaqué par des... des avions, des chasseurs de l'armée Coréenne !

Alors, sans hésitation, tout le monde sauta de l'hélicoptère. Mô attendit que tout le monde soit tombé pour se jeté à son tour. Quelque seconde plus tard, l'hélicoptère explosait en plein vol, ce qui envoya de nombreux débris. Heureusement, aucun de nous n'avait été touché. L'hélicoptère s'écrasa un peu plus loin. Il avait prit feu, et la forêt elle aussi. Une course contre la montre, et notre seul guide était la fumée que dégageait l'hélicoptère. Si elle était au nord, il fallait courir vers le sud... raisonnement facile, mais sur le coup, personne n'avait pensé à autre chose. Et puis ça satisfaisait tout le monde, nous n'avions pas besoin de réfléchir trop au moins... car nous aurions perdu de précieuse seconde qui aurait, peut être, suffit à nous tuer. En tout cas, la chance était de nôtre côté puisque nous réussîmes à aller sur la plage. Mais l'attaque des Coréen ne s'arrêtait pas là. Sans se poser de question, tout le monde sauta dans l'eau et plongea aussi bas que possible. Au bout de 3 minutes, je fus obligé de remonté à la surface... et là, une triste vue m'attendait. Sur la plage, des corps... mais pas ceux de mes alliés. Je revenu sur celle-ci, puis j'attendis dix bonne minutes avant d'en venir à la conclusion... j'étais dans une belle merde. Ma seule chance... non, je n'avais aucune chance. J'allais devoir marcher sur ce sable, jusqu'à je ne sais où.

Après quelque heures de marches...

Vicious : « Putain je m'ennuie ! Marre de marcher sur cette boue de merde ! »

Ces quelques mots résumaient à merveille mon humeur du moment. Deux putains d'heures que je marchais, toujours rien. Cette île, vu des airs, paraissait minuscule. Et pourtant, maintenant que je me trouvais dessus à marcher sans savoir ce que je cherchais, elle paraissait immense. Mais, mes efforts allaient être récompensé. Car derrière une falaise, je vis un petit village... Avec la volonté d'y arriver, je sautai du haut de la falaise qui devait bien faire 20mètres. Je tombai dans l'eau... d'une certaine façon. On m'avait apprit à sauter pour ne pas risquer la mort au contact. Bien que j'eus vraiment mal, j'arrivai à nager vers la plage. Avant même de poser un pied à terre, je vis déjà un petit groupe de gens courir vers moi. Ils m'aidèrent à me lever, et m'amenèrent à leur chef, un homme corpulent.

Chef : «Que viens-tu faire ici ? »
Vicious : « Bah en faite... j'ai été emprisonné sur une petite île et je me suis enfuis en hélicoptère avec d'autre détenus juste après que celle-ci fut attaqué. Et lorsqu'on est arrivé près de vôtre île, des chasseurs de l'armé Coréenne ont attaqué notre pauvre hélico qui s'est écrasé. Mes alliés ont disparus, et après une longue marche j'ai aperçu vôtre village... »
Chef : « D'accord... seulement, nous ne voulons pas de toi ici. Mais je vais te ramener sur la Terre Ferme. Sache que tu es à seulement 3 heures de L'inde. Un petit groupe d'homme va ramer pour toi jusqu'à là-bas... ne dis jamais que tu es venus ici. Et surtout... prends ce nom : Tenhiki. Un nom très respecté... qui t'aidera par la suite. T'es amis sont morts, tous ont été retrouvé au bord de nos falaises... »


Je restai bouche bée... puis je partis. Lâché sur le continent... je ne me souviens plus ce qui c'est passé. En tout cas, à chaque fois que je disais que mon nom était Tenhiki je voyais des gens apeurés et qui s'inclinait maladroitement...
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MessageSujet: Re: [Fic] Vicious   [Fic]  Vicious EmptyDim 19 Oct - 21:11

OMG, ma gentillesse n'a pas de limites...


Chapitre 3 : Retrouvaille.


Capitaine : « Arrivé à l'Ancien Japon. Tout le monde descend. Je répète, arrivé à l'Ancien Japon. Tout le monde descend. »

Vicious : « Fils de pute... »


Je m'étais à peine endormis que le capitaine m'avait déjà réveillé. Nous étions arrivé à destination sans problème, avec même un quart d'heure d'avance. Heureusement, je n'avais aucun bagage et je pouvais donc sortir sans aucune contrainte. Je prenais grande inspiration avant d'allumer une clope. J'ouvrai alors mes yeux, et je reculai de quelque pas, trébuchant presque dans la mer. Une terre dévasté, des ruines omniprésente et un terrain de feu. C'est quoi ce merdier était la première chose à laquelle j'avais pensé. Les autres personnes aussi était surprise. Un homme apparut alors de nul part. Il nous fit signe de le suivre. Comme des brebis derrière un bâton, je le suivi accompagné d'une dizaine d'autres personnes. Il nous amenait vers le terrain enflammé. Arrivé juste à côté, je sentais la chaleur devenir insoutenable. Et lui, comme par magie, passa le rideau de flamme. Il revenu, apparemment troublé que personne ne l'ai suivit. Il fit un signe de tête, et je tentai le premier de passer. Je fermai les yeux, comme si une immense douleur allait se créé en moi. Mais rien. Doucement, je rouvris les yeux et je vis qu'il ne m'était rien arrivé. Je ricanai de ma propre connerie. Et peu à peu, tous traversèrent la vague. L'homme était à présent au milieux d'un terrain improvisé. Il afficha alors un planning ou était affiché le nom des combattants...
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